La recherche de la 3ème dimension : créer un effet de relief à partir d’un matériau qui peut parfois paraître trop plat. Les blocs de pierre stylisés s’appuient les uns sur les autres. Ôtons celui du fond, tout tombera au sol.

Vitrail grand format (2m x 2m), réalisé avec la technique traditionnelle au plomb.

Vitrail séparant la chambre et la salle de bain, pour une salle de bain à l’origine sans fenêtre. Encore un travail sur le relief, sur un fond de verre blanc transparent texturé.

Un vitrail d’intérieur. Une boîte de lumière a été créée dans le mur. Le verre rendu opaque par la technique du sablage cache les néons. Le mouvement des lignes de plomb et les boucles de couleurs dessinent un joyeux désordre. Lianes ? Tiges ? Personnages ?

Technique Tiffany (soudure à l’étain) qui permet d’avoir un vitrail plus léger. Les diverses pièces de verre sont texturées à l’atelier : le verre est coulé à haute température dans des moules produits pour l’occasion.

Vitrail sur cour. Un grand verre sablé pour laisser passer la lumière mais ne pas être sous le regard du voisin. Une frise colorée anime la fenêtre. Elle rend hommage à la ferronnerie juste au-dessous d’elle.

Technique Tiffany (soudure à l’étain), pour un vitrail plus léger. Les pièces de verre colorées sont texturées à l’atelier (fusion à haute température).

Vitrail grand format occupant tout un bow-window. Le motif est inspiré de la nature. L’envie de couleurs a pris le dessus.

Technique Tiffany (soudure à l’étain). Les grandes pièces de couleurs sont fusionnées entre elles. Le fond est un verre texturé.

Au départ un simple jeu de mots réunissant deux personnages illustres du XXème siècle, à l’arrivée une pièce réalisée avec la technique de la sérigraphie sur verre, clin d’œil à Andy Warhol. Du verre, des émaux. Tout est dans la précision du geste.

Un vitrail grand format servant de paravent. Il s’agissait de cacher un ascenseur visible d’une cuisine. Les pièces de verre sont venues s’appuyer sur la ferronnerie existante.

Les pièces de verre sont texturées et fusionnées. Avec un effet de relief pour certaines.

Un vitrail grand format (1,80m x 1,80m), rétroéclairé. Un effet cinéma digne d’une icône : on ouvre la porte de l’appartement et le visage de Marylin apparaît tout au bout du couloir, immense et rayonnant.

Travail de sérigraphie fait avec de la poudre de verre.

Des découpes acrobatiques pour des lignes de plomb en mouvement. La complexité des formes est rendue possible par une machine spéciale pour découper le verre et par un assemblage en Tiffany.

Une découpe du verre complexe pour un assemblage au millimètre. La recherche du mouvement et de l’harmonie.

Vitrail qui semble prendre son envol.

Technique traditionnelle au plomb

La recherche de la simplicité et de l’élégance pour animer une salle de bain. Les 6 losanges sont tous différents l’un de l’autre.

Fenêtre sur cour. Des fleurs bien vivantes, qui débordent du cadre.

Technique Tiffany et fusing (fusion des pièces à haute température).

Juste l’envie de donner beaucoup de lumière à une salle de bain. Verres texturés et collés.

Derrière ce vitrail se cache un miroir. Celui-ci renvoie la lumière dans le vitrail. Ce dispositif a permis également de donner l’impression d’une pièce plus grande.

Verres texturés. technique traditionnelle au plomb.

Deux vitraux en un. Une version jour aux couleurs chatoyantes. Une version nuit qui fait ressortir les pièces opaques. Le choix des verres et des couleurs a produit cet effet.

Un motif réalisé avec divers verres texturés et inspiré de l’Art déco, sur une structure en métal.

Vitrail posé directement sur un mur, éclairé seulement par une petite lucarne. Les textures du verre cachent le mur.